10 août 2008
amie nation réductrice (de tête)
Notre équipe nationale de handball féminin (prononcez handball)a battu les angolaises 32 à 21... On vous raconte dans tous les canards laqués à la sauce pékinoise que c'est un exploit. Mais c'est sans compter sur la présence dans les gradins de notre délicieux envoyé spécial Simon Pervoyèssa*, qui a même fait un dessin (ci-contre).
Il s'est introduit en douce dans une joueuse française, et a constaté qu'elle était bourrée de chamallows à l'intérieur. La française a eu beau prétendre que ces chamallows provenaient du commerce équitable, et que les paysans du Kukistan les ramassent à la mousson d'été, ça n'en reste pas moins du dopage. C'est affligeant.
Vous remarquerez aussi sur le dessin, un détail que l'on ne voit pas à la télévision chinoise, qui lisse les images de manière sinique: les angolaises sont quand même vachement handicapées pour la qualif, avec leurs gosses dans le dos, leurs seins flapis, exténués par les allaitements à répétition qui leur claquent dans la figure au moindre saut carpé, et leur cruche pleine d'eau plantée droit sur leur tête, qui vacille dangereusement lors des smashes. Enfin...
Les chinois ont bien riz!
*Simon Pervoyèssa est grand reporter sportif au Dauphiné Déchaîné, et officie habituellement dans les gradins dauphinois.
amie nation réductrice (de tête)
Notre équipe nationale de handball féminin (prononcez handball)a battu les angolaises 32 à 21... On vous raconte dans tous les canards laqués à la sauce pékinoise que c'est un exploit. Mais c'est sans compter sur la présence dans les gradins de notre délicieux envoyé spécial Simon Pervoyèssa*, qui a même fait un dessin (ci-contre).
Il s'est introduit en douce dans une joueuse française, et a constaté qu'elle était bourrée de chamallows à l'intérieur. La française a eu beau prétendre que ces chamallows provenaient du commerce équitable, et que les paysans du Kukistan les ramassent à la mousson d'été, ça n'en reste pas moins du dopage. C'est affligeant.
Vous remarquerez aussi sur le dessin, un détail que l'on ne voit pas à la télévision chinoise, qui lisse les images de manière sinique: les angolaises sont quand même vachement handicapées pour la qualif, avec leurs gosses dans le dos, leurs seins flapis, exténués par les allaitements à répétition qui leur claquent dans la figure au moindre saut carpé, et leur cruche pleine d'eau plantée droit sur leur tête, qui vacille dangereusement lors des smashes. Enfin...
Les chinois ont bien riz!
*Simon Pervoyèssa est grand reporter sportif au Dauphiné Déchaîné, et officie habituellement dans les gradins dauphinois.